Témoignage de William Branham
“Jésus-Christ, le même hier, aujourd'hui et pour toujours”
Hébreux 13:8
Je suis né dans le comté de Cumberland au Kentucky, dans une petite cabane en rondins. Mon père et ma mère se sont mariés très jeunes, et j'étais leur premier enfant. Maman m'a raconté qu'une fois, alors que j'avais seulement environ 6 mois et que papa était en voyage, nous sommes restés bloqués à la maison pendant plusieurs jours, par une accumulation de neige en montagne. Nous n'avions plus de nourriture et les forces de maman faiblissaient de plus en plus. Elle a fini par penser que c'était la fin. Elle a dit qu'elle a rassemblé tous nos vêtements, nos couvertures et nos draps, qu'elle m'a pris dans ses bras et nous a enveloppés tous les deux, pour nous tenir au chaud le plus possible.
Cabane de bois où William Branham naquit le 6 avril 1909 dans le Kentucky.
Cher lecteur, je crois que ç'aurait été la fin si notre tendre Sauveur n'était pas alors entré en scène. Mais Il est toujours près de nous, et apparait toujours au bon moment. Il a parlé à un brave voisin, un cher homme rempli de piété, Il lui a dit de venir voir pourquoi il n'y avait plus de fumée dans notre cheminée depuis quelques jours. Arrivé à notre cabane, il a enfoncé la porte et nous a trouvés, maman et moi, presque morts de faim. Il est allé chercher du bois, a fait un feu, et est ensuite retourné à sa cabane pour nous rapporter de la nourriture. Bientôt nous étions en voie de recouvrer les forces et la santé. Que Son Nom soit loué!
Peu de temps après, nous avons quitté l'État du Kentucky pour déménager en Indiana. Papa a commencé à travailler chez un fermier, près d'Utica, dans l'Indiana. Nous avons habité là environ un an, et nous avons ensuite déménagé un peu plus bas dans la vallée de l'Ohio. Plusieurs années ont passé, j'ai grandi, et j'étais devenu un grand garçon quand Dieu m'a parlé.
Un soir, je transportais de l'eau entre la maison et l'étable, qui se trouvait à une distance d'un pâté de maisons de celle-ci. À peu près à mi-chemin entre la maison et l'étable, il y avait un vieux peuplier. Je venais de rentrer de l'école ce soir-là, et les autres petits voisins allaient pêcher à l'étang. Je pleurais parce que je voulais y aller mais papa disait que je devais transporter de l'eau. Je m'étais arrêté pour me reposer sous l'arbre, et, tout à coup, j'ai entendu le vent souffler dans les feuilles. Je savais qu'il n'y avait pas de vent ailleurs. C'était un après midi qui semblait très calme. Je me suis écarté un peu de l'arbre, et j'ai remarqué qu'il y avait un endroit à peu près de la dimension d'un baril où le vent semblait souffler dans les feuilles. C'est alors qu'une voix s'est fait entendre:
"Ne bois jamais, ne fume jamais, et ne souille ton corps d'aucune façon, car Je te réserve une oeuvre à accomplir quand tu seras plus âgé." J'ai eu tellement peur que je suis rentré à la maison en courant, mais je n'en ai parlé à personne. Je n'ai jamais pu boire ou fumer. Je crois que Dieu accomplira une grande oeuvre dans les derniers jours.
Quand j'ai été en âge de sortir avec les jeunes, ils me taquinaient et me traitaient de poule mouillée, parce que je ne fumais pas et que je ne buvais pas. Ils disaient que même les filles fumaient, qu'elles avaient plus de cran que moi. J'avais alors honte de leur témoigner ce qui s'était produit dans ma vie. Mais, mes chers amis, certainement que je me fais une gloire d'en parler au monde aujourd'hui. Alléluia!
À l'âge d'environ quatorze ans, j'ai été gravement blessé à la chasse. J'ai passé sept mois à l'hôpital. Dieu traitait avec moi, mais je refusais d'écouter. L'appel devenait de plus en plus une réalité pour moi. Mais, comme je n'avais pas été élevé dans une famille chrétienne, je cherchais à y résister. Bien des fois j'ai entendu cette petite voix tranquille qui m'appelait, mais je la repoussais. J'en suis arrivé au point où j'avais peine à supporter d'entendre même mentionner l'église.
Un jour j'ai décidé que j'avais trouvé un moyen de me débarrasser de cet appel: j'irais dans l'Ouest travailler dans un ranch. Mon ami, Dieu est tout aussi grand là-bas que n'importe où. Puissiez-vous tirer profit de mon expérience. Quand Il vous appelle, répondez-Lui.
Par un matin de septembre de l'an 1927, j'ai annoncé à maman que je partais en camping Tunnel Mill, qui se trouvait à environ quatorze milles de Jeffersonville, où nous habitions à l'époque. J'avais dejà fait les préparatifs pour partir en Arizona avec quelques amis. Les prochaines nouvelles que maman eues de moi, je n'étais pas à Tunnel Mills, mais à Phoenix, en Arizona, en train de fuir le Dieu d'Amour. La vie de ranch, ce fut bien agréable pendant quelque temps, mais on se lasse vite, comme de tous les autres plaisirs de ce monde. Par contre, permettez-moi de dire ici: Gloire à Dieu, l'expérience avec Jésus, elle, devient toujours plus douce, et on ne s'en lasse jamais. Jésus procure toujours une paix et une consolation parfaite.
Bien des fois j'ai entendu le vent souffler dans les grands pins. Il me semblait entendre Sa voix qui appelait, très loin dans la forêt, qui disait: "Adam, où es-tu?" Les étoiles semblaient tellement proches qu'on aurait pu les prendre avec la main. Dieu semblait être si près.
On dirait qu'il y a quelque chose dans cette région-là qui, encore aujourd'hui, a un sens vraiment spécial pour moi, ce sont les routes du désert. Si jamais on sort de la route, il est tellement facile de se perdre. Combien de fois les touristes, en apercevant des petites fleurs du désert, sortent de la route pour aller les cueillir. Ils se mettent à errer dans le désert et s'y perdent, et parfois ils y meurent de soif. Il en va de même de la voie chrétienne: Dieu a une route. Il en parle dans Esaïe, chapitre 35. Elle s'appelle la "route de la sainteté". Très souvent les petits plaisirs de ce monde vous entraînent hors de la route. Vous avez alors perdu votre expérience avec Dieu. Quand on est perdu dans le désert, on voit parfois apparaître un mirage. Pour des gens qui sont en train de mourir de soif, ce mirage, ce sera une rivière ou un lac. Très souvent les gens vont se mettre à courir après ces mirages, ils se jetteront sur eux et se retrouveront simplement en train de se baigner dans le sable chaud. Parfois le diable va vous montrer quelque chose qui n'est pas réel. Si vous écoutez, vous retrouverez submergé de chagrin, c'est tout. Cher lecteur, ne l'écoutez pas. Croyez en Jésus, qui donne de l'eau vive à ceux qui ont faim et soif.
Un jour j'ai reçu une lettre de la maison, où on m'annonçait qu'un de mes frères était très malade.Il s'agissait d'Edward, le plus âgé après moi. Évidemment, comme je pensais que ce n'était pas grave, je croyais qu'il se remettrait. Mais quelques jours plus tard, un soir que jerevenais de la ville, en passant dans la cantine du ranch, j'ai vu un bout de papier sur la table. Je l'ai ramassé. Il était écrit: "Bill, rends-toi au pâturage du nord. Très important." Après avoir lu cette note, j'ai marché vers le pâturage avec un ami. La première personne que j'ai rencontrée, c'est un vieux cow-boy du texas qui travaillait au ranch. Son nom était Durfy, mais nous, on l'appelait "pop". Le visage empreint de tristesse, il m'a dit: "Billy, mon garçon, j'ai une mauvaise nouvelle pour toi." Au même moment, le contremaître est arrivé. Ils m'ont annoncé qu'un télégramme venait d'arriver: mon frère était mort.
Cher ami, pendant un moment, je ne pouvais plus bouger. C'était la première mort dans notre famille. Mais je tiens à dire la première chose à laquelle j'ai pensé, c'est que je me suis demandé s'il était prêt à mourrir. Je me suis retourné et j'ai promené mes regards sur la prairie toute jaune, alors que les larmes coulaient sur mes joues. Que de souvenirs, comme il nous a fallu lutter quand nous étions enfants ensemble, comme c'était pénible pour nous.
Nous allions à l'école avec à peine assez à manger. Nos orteils sortaient de nos chaussures, et il nous fallait épingler nos vieux manteaux au cou, parce que nous n'avions pas de chemise. Je me rappelais aussi le jour où pour notre dîner, maman nous avait mis du pop-corn dans un petit seau. Nous ne mangions pas avec les autres enfants; nous n'avions pas les moyens de payer la même nourriture qu'eux. Nous éclipsions toujours derrière la colline pour manger. Je me souviens que le jour où nous avons eu du pop-corn, pour nous c'était un vrai festin. Aussi, pour m'assurer j'aie eu ma part, je suis sorti avant midi, et j'en ai pris une bonne poignée avant que le frérot ait sa part.
Alors, en promenant mes regards sur la prairie desséchée par le soleil, je pensais à toutes ces choses et je me demandais si Dieu l'avait emporté vers un endroit meilleur. Encore là, Dieu m'a appelé, mais, comme d'habitude, j'ai cherché à résister.
Je me suis préraré à rentrer pour les funérailles. Quand le pasteur McKinny de l'église de Port Fulton, un homme qui est comme un père pour moi, a prêché aux funérailles, il a mentionné ceci: "Il y a peut-être des gens ici qui ne connaissent pas Dieu, s'il y en a, c'est maintenant le moment de vous attendre à Lui."Oh, comme je me suis agrippé à mon siège! De nouveau, Dieu traitait avec moi. Cher lecteur, quand Il appelle, répondez-Lui.
Je n'oublierai jamais combien mon pauvre vieux papa et ma pauvre vieille maman ont pleuré après les funérailles. Je voulais retourner dans l'Ouest, mais maman m'a tellement supplié que j'ai fini par accepter de rester si j'arrivais à trouver du travail. Je n'ai pas tardé à trouver un emploi pour le compte des services publics de l'Indiana, où je travaille en ce moment.Environ deux ans plus tard, alors que je vérifiais des compteurs à l'atelier de compteurs de l'usine à gaz de New Albany, j'ai été intoxiqué par le gaz, et je m'en suis ressenti pendant des semaines. Je suis allé consulter tous les médecins que je connaissais. Rien n'allégeait mes souffrances. J'avais des aigreurs d'estomac, séquelles de l'intoxication par le gaz. Mon état empirait toujours. On m'a envoyé consulter des spécialistes de Louisville, au Kentucky. Ils ont conclu qu'il s'agissait de mon appendice et m'ont annoncé qu'il me faudrait subir une opération. Je n'arrivais pas à le croire, puisque je n'avais jamais eu mal au côté. Les médécins ont déclaré qu'ils ne pouvaient rien faire de plus pour moi tant que je n'aurais pas été opéré. J'ai fini par accepter, mais j'ai exigé qu'ils procèdent par anesthésie locale, pour que je puisse suivre l'opération.
Oh, je voulais avoir quelqu'un qui connaissait Dieu auprès de moi. Je croyais à la prière mais je n'arrivais pas à prier. Alors le Pasteur de la Première Église Baptiste m'a accompagné à la salle d'opération. Quand il m'ont transporté de la table à mon lit, je sentais mes forces qui faiblissaient de plus en plus. Mon coeur battait à peine. Je sentais la mort qui me guettait. Mon souffle devenait de plus en plus court. Je savais que j'étais arrivé au bout de ma route. Oh, mon ami, attendez un peu d'en arriver là une fois, alors vous penserez à beaucoup de choses que vous avez faites. Je savais que je n'avais jamais fumé, ni bu, ni eu des habitudes impures, mais je savais que je n'étais pas prêt à rencontrer mon Dieu.
Mon ami, si vous n'êtes qu'un membre d'église froid et formaliste, vous saurez, quand vous arriverez à la fin, que vous n'êtes pas prêt. Alors, si c'est tout ce que vous savez au sujet de mon Dieu, je vous demandede vous agenouiller en ce moment même, et de demander à Jésus de vous donner cette expérience de la nouvelle Naissance dont Il a parlé à Nicodème dans Saint Jean, au chapitre 3. Et, oh, les cloches de la joie carillonneront ! Gloire à Son Nom !
Il faisait de plus en plus noir dans la chambre d'hôpital, c'était comme dans une forêt dense. Je pouvais entendre la vent qui soufflait dans les feuilles, mais il était comme très loin dans la forêt. Vous avez probablement déjà entendu une bouffée de vent, quand elle s'approche de plus en plus en soufflant dans les feuilles. Je me suis dit: "Eh bien c'est la mort qui vient me chercher." Oh! mon âme allait rencontrer Dieu, j'essayais de prier mais je n'y arrivais pas.
Le vent s'approchait, avec un mugissement grandissant. Le bruissement des feuilles - puis, tout d'un coup, j'étais parti.
C'était comme si j'étais redevenu un petit garçon, pieds nus, j'étais là, dans l'allée, sous ce même arbre. J'ai entendu cette même voix qui avait dit: "Ne bois et ne fume jamais." Et les feuilles que j'entendais, c'étaient les mêmes que celles qui bruissaient dans l'arbre ce jour-là. Mais cette fois, la voix disait:
"Je t'ai appelé et tu as refusé d'obéir”.
Elle l'a dit à trois reprises.
Alors j'ai dit: "Seigneur, si c'est Toi, permets que je retourne sur terre, et je prêcherai Ton Evangile sur les toits et au coin des rues. J'en parlerai à tous !"
Quand la vision a disparu, j'ai constaté que je ne m'était jamais mieux senti. Mon chirurgien était encore dans l'établissement. Il est venu, m'a regardé, il était surpris. Il m'a regardé comme s'il s'était attendu à me trouver mort, ensuite il a dit: "Je ne suis pas un homme qui va beaucoup à l'église, ma clientèle est trop nombreuse pour ça, mais je sais que Dieu a visité ce garçon." Pourquoi il a dit cela, je ne sais pas. Personne n'avait dit un mot là-dessus. Si j'avais su à l'époque ce que je sais maintenant, je me serais levé du lit en poussant des cris de louange à Son Nom.
Au bout de quelques jours, on m'a permis de rentrer à la maison, mais j'étais encore malade, et j'étais obligé de porter des lunettes, parce que je souffrais d'astigmatisme. Ma tête tremblait quand je fixais quelque chose pendant un instant.
Je me suis mis en quête de trouver Dieu. J'allais d'église en église, je cherchais un endroit où il y aurait un appel à l'autel à l'ancienne mode. Ce qui est triste, c'est que je n'ai pu n'en trouver aucun. Je disait que si jamais je devenais un chrétien, j'en serais un vrai. Un prédicateur qui m'avait entendu faire cett remarque, m'a dit: "Allons, Billy, mon garçon, voilà que tu sombres dans le fanatisme”.J'ai dit que si jamais je me convertissais, je voulais sentir le changement quand il se produirait, exactement comme les disciples l'avaient senti.Oh, gloire à Son Nom. Je me suis converti quelque temps plus tard, et je le suis toujours, et, avec Son aide, je le serai toujours.
Un soir, j'avais tellement soif de Dieu et d'une expérience réelle que je suis allé dans la petite annexe derrière la maison, et j'ai essayé de prier. À l'époque je ne savais pas comment prier, alors je me suis simplement mis à Lui parler comme j'aurais parlé à n'importe qui d'autre. Tout à coup une lumière est entrée dans la pièce, elle a formé une croix, et la voix qui est sortie de cette croix m'a parlé dans une langue que je ne comprenais pas. Ensuite elle a disparu. J'étais fasciné. Quand j'ai repris mes sens, j'ai prié: "Seigneur, si c'est Toi, je T'en prie, reviens me parler”.Depuis que j'étais rentré de l'hôpital, je lisais ma Bible, et j'avais lu dans Jean 4: "Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit, mais éprouvez-les, pour savoir s'ils sont de Dieu."
Je savais qu'un esprit m'était apparu et, pendant que je priais, il est réapparu. Alors c'était comme si mon âme avait été déchargée d'un poids de mille livres. D'un bond je me suis levé et j'ai couru vers la maison; j'avais l'impression que je courais sans toucher terre.Maman m'a demandé: "Bill, qu'est-ce-qui t'est arrivé?" J'ai répondu: "Je ne sais pas, mais en tout cas, je me sens vraiment léger”.Je ne pouvais pas rester dans la maison plus longtemps. Il fallait que je sorte courir.
À ce moment-là je savais que si Dieu voulait que je prêche, Il me guérirait, alors je suis allé à une église où on croyait à l'onction d'huile, et j'ai été guéri instantanément. Alors j'ai vu que les disciples possédaient quelque chose que la plupart des prédicateurs ne possèdent pas aujourd'hui. Les disciples étaient baptisés du Saint-Esprit, et c'est pour ça qu'ils pouvaient guérir les malades et accomplir de grands miracles en Son Nom. J'ai donc commencé à prier pour recevoir le baptême du Saint-Esprit, et je l'ai reçu.
Un jour, environ six mois plus tard, Dieu m'a donné ce que mon coeur désirait. Il m'a parlé dans une grande Lumière, Il m'a dit d'aller prêcher et de prier pour les malades, et qu'Il les guérirait, quelles que soient leurs maladies. J'ai commencé à prêcher et à faire ce qu'Il m'a dit de faire. Oh, mon ami, je ne pourrais entreprendre de vous raconter tout ce qui s'est produit: Les yeux des aveugles se sont ouverts, les boîteux ont marché, des cancers ont été guéris, et des miracles de toutes sortes ont été accomplis.
Un jour, au bout de la Spring St à Jeffersonville, dans l'Indiana, après une série de réunions de réveil de deux semaines, j'ai baptisé 130 personnes. C'était une chaude journée d'août, et environ trois mille personnes étaient présentes. J'allais baptiser la 17ème personne, quand, tout à coup, j'ai entendu de nouveau cette petite voix tranquille; elle disait:
"Lève les yeux."
Par cette journée chaude d'août, le ciel était d'airain. Il y avait peut-être trois semaines que nous n'avions pas eu de pluie. J'ai entendu la voix de nouveau, et une troisième fois encore, qui disait:
"Lève les yeux”.
J'ai levé les yeux, et une grande étoile brillante - que j'avais déjà vue bien des fois, mais dont je ne vous ai pas parlé - est arrivée du ciel. Bien des fois, j'ai parlé à des gens de cette étoile qui apparaissait, et ils se contentaient de rire, en disant: "Bill, tu ne fais qu'imaginer ça. Ou peut-être que tu rêvais." Mais, gloire à Dieu, cette fois-là, Il S'était montré de façon visible devant tous, parce qu'elle est venue si près de moi que je ne pouvais même pas parler. Au bout de quelques secondes, j'ai poussé un cri, et plusieurs personnes ont regardé et ont vu l'étoile, qui était juste au-dessus de moi. Quelques-uns se sont évanouis, tandis que d'autres se sont mis à crier, et que d'autres se sont enfuis. Ensuite, l'étoile est repartie dans le ciel; l'endroit d'où elle était venue mesurait environ quinze pieds carrés, et à cet endroit-là on pouvait voir un mouvement continuel comme des remous ou ce qui ressemblait au moutonnement des vagues. Un petit nuage blanc s'était formé à cet endroit, et l'étoile est entrée dans ce petit nuage.
Cher lecteur, si seulement j'avais suffisament d'espace dans cette brochure pour vous parler des nombreuses choses qui sont arrivées, de la construction de notre tabernacle, et de beaucoup de formidables réunions de réveil que nous y avons faites. De gens sont venus de partout pour être guéris. C'est choses ont pour but de vous faire savoir que...
Jésus-Christ est toujours le même qu'il était hier, qu'il est aujourd'hui, et le sera pour toujours, et que vous devriez croire en Lui et être sauvé.
extrait du message "Jésus-Christ, le même hier aujourd'hui et éternellement", William Branham .
Uma palavra de agradecimento:
Prezados irmãos saudações em nome do Senhor JesusQuero antes de qualquer coisa agradecer a Deus por todas as bênçãos que temos recebido e o apoio de vários irmãos ao redor do mundo e no Brasil. Muito teria a dizer, no entanto, achei necessário uma pequena palavra sobre nossa nova empreitada, disponibilizar matérias e mensagens do irmão Branham em Francês e Inglês. Iniciamos…